Les enfants de facebook.

Devant la multiplication des réseaux sociaux et leurs banalisation aux yeux de la plupart d’entre nous (pas tous bien heureusement), les questions de l’ordre éthique n’ont pas cesse d’être soulevés. On as tous commencé à avoir peur pour nos données personnels et leurs monétisation éventuelle (et avère depuis), mais peu à peu le monstre à dompté le peuple en le séduisant par la biais de la culture kikoulol.

Est-ce bien grave de déverser sa connerie sur la toile qui ressemble de plus en plus à une poubelle ? Sûrement, mais bon vue que tout le monde le fait et qu’on est entre adultes majeurs et vaccinés ; c’est acceptable.

Malheureusement une information assez alarmante vient déranger cette idylle d’auto contemplation et de la course à la personne la plus cool qui a le plus d’amis sur sa liste. Les chiffrés officiels viennent de tomber ; selon une étude de TNS-Sofres plus de 20% d’utilisateurs du facebook en France ont moins de quatorze ans…

On se doutait bien que nos bambins usaient et abusaient des réseaux sociaux réserves aux adultes, mais pas dans ces proportions et pas aussi jeunes. La même étude révèle que 30 % d’entre eux ont été choques par les propos à caractère sexuel et raciste. Je vous laisse imaginer l’étendue réelle de ce chiffre, car je suis certain (ayant été un enfant moi-même) que les enfants qui ont fait partie de l’étude ont soigneusement évité de répondre « oui j’ai était choque » à cette question, ne serais que pour le plaisir de jouer « le grand » une fois de plus.

bebe-facebook

Et les parents dans tout ça ?

Plus grave encore, cette étude met en évidence l’incapacité des parents de réagir devant ce phénomène. Plus de 97% des sondés ont indique que maman ou papa étaient au courant de la présence de leur enfant sur le réseau social en question pourtant seulement 45% d’entre eux surveillent l’agissement de leurs enfants dans le monde virtuel (déjà que j’ai mon propre profil à gérer, je vais pas en plus m’occuper de celui de mon enfant, on pourrait me soupçonner de profil-farming…). Sachant que 60 % de ces enfants se connectent au moins une fois par jour, on pourrait tout de même se poser la question du danger qu’ils encourent.

L’on peut aussi remarquer que les services de facebook ne font pas l’objet d’une modération de la part des programmés de contrôle parental (à de rares exceptions prés).

Mais que fait Zuckerberg ?

Eh ben il communique, ou plutôt sa boite ; qui se targue de l’efficacité de leurs bots qui détectent et virent plus de 20 000 mineurs par jour. Pas assez j’ai envie de dire. D’autant plus que le gamin viré peut tout simplement recréer un compte avec un autre nom. La solution serait de parler à son enfant et lui expliquer les dangers des réseaux, surveiller l’usage et les paramètres de confidentialités associées au compte. Affaire à suivre…

Le conflit en Libye s’enlise.

L’intervention de l’armée française en Libye, qui a débuté de puis prés de 3 mois, devait initialement durer seulement 2 mois. Alors que le général Kadhafi (qui fait à présent l’objet d’un mandat d’arrêt international) est toujours bien place et la population est plongée dans une guerre civile, les avions de français continuent de survoler inlassablement le dessert libyen pour une durée encore indéterminée.

Les coûts.

Le budget de départ (100 millions d’euros) prévu pour financer la chute du régime Kadhafi as était multiplié par deux depuis. Pour vous donner un ordre d’idée ; une heure de vol d’un Mirage coûté environ 11 milles euros. Ce chiffre atteint les 15 milles euros pour un Rafale. Pour ce qui est des missiles lancées pour détruire les chars et les fortifications libyennes, le coût s’élevé à 350 milles pièce. Il est intéressant de remarquer que le prix d’un char standard de l’armée libyenne ; j’ai nommé le T-72S fabrication soviétique ne dépasse pas les 500 milles euros. Autant dire qu’il ne vaut mieux pas rater sa cible…

Désaccord entre alliés.

Devant ces chiffres et le mécontentement des français qui aimeraient bien avoir plus de professeurs dans les salles de classe pour éduquer leurs progénitures, la France bien décidé a en découdre, commence un largage massif d’armes destines aux rebelles retranchés aux alentours de Tripoli. Cette information, démentie par le Figaro en premier lieu, vient d’être confirmée par l’état qui se justifie (je cite) de la manière suivante :

« Il s’agit, affirme Paris, d’armes légères, larguées à l’occasion d’opérations d’aide humanitaire en faveur de populations sous la menace des troupes de Mouammar Kadhafi »

« Si les rebelles parviennent jusqu’aux abords de Tripoli, la capitale ne manquera pas de se soulever contre Kadhafi »

Cette démarche « judicieuse » n’est pas du goût des alliés britanniques qui auraient préfère d’éviter une guerre de rue entre les militaires pro-Kadhafi et les troupes rebelles composées essentiellement de courageux civils qui se battent pour leurs liberté. Le gouvernement britannique exprime son désaccord, car l’initiative française qui as eu lieu a l’insu des alliés, ne respecte pas l’embargo sur les armes en Libye. Le porte parole britannique ajoute qu’il est d’accord sur le fond, mais ne peut pas cautionner la forme de cette affaire. Quoi qu’il en soit, la désolidarisation entre les alliés est croissante, ce qui risque de rallonger la durée totale de l’intervention.

Les pro-khadafistes ne désarment pas.

Malgré la dureté du régime, là côte de la popularité du général ne baisse pas et la population de Tripoli, son fief ultime, se préparé à défendre leurs chef jusqu’au bout. Hier, le quotidien italien Repubblica, publié sur son site des photos de femmes équipés de kalachnikovs et autre RPG-7 (lance roquette), défilant dans la rue en soutien à Mouammar Kadhafi. Une mise en scène de la part du régime qui s’émiette petit à petit ou bien une réelle motivation de la population de se défendre contre « l’envahisseur » occidental ?

Fukushima une histoire sans fin

Suite au séisme de magnitude 9 qui c’est produit le vendredi 11 mars 2011, la centrale nucléaire japonaise connaît de plus en plus de difficultés. Cette crise fait de moins en moins parler d’elle, alors que la situation à FukUshima s’aggrave de jour en jour. Depuis trois mois les autorités japonaises assurent que la situation est sous contrôle et que cette catastrophe, plus grave que celle de Tchernobyl en 86, n’auras pas de répercutions dans le futur.
Malheureusement la vérité est tout autre. Tepco, la compagnie énergétique japonaise, est dans l’incapacité de maîtriser la situation et mettre fin aux fuites radioactives dans les sous sols et la baie de Fukushima. On as souvent parlé d’incompétence, mais vue la gravité de la situation, n’importe quel pays ou multinationale aurait était dans la même situation.
Notons également la lenteur de réaction des autres pays spécialises dans le nucléaire (la France et « Areva ») pour apporter une aide logistique pour mettre un terme à cette crise. Au jour d’aujourd’hui, le fameux réacteur est toujours en fusion et la seule chose que Tepco peut faire est de le refroidir avec l’eau pompée dans l’océan. Cette même eau, une fois contaminé, est rejette directement dans les sols, car les niveaux de radiations extrêmement élevés ne permettent pas son traitement dans l’immédiat.non au nuclaire

Un enfant, un dosimètre.

La population locale qui souffre énormément de cette catastrophe est contrainte de rester à proximité de la centrale (à une distance de 30 km) faute de place sur l’île. La vie continue pour ces pauvres gens qui sont réduits à équiper leurs enfants de dosimètres, fournis par gracieusement par l’état nippon, pour contrôler le taux de radioactivité aux quels ces derniers sont exposes. Mesure incompréhensible et dérisoire, car les retombes radioactifs suite à l’accident peuvent être mesures sur la planète entière. Triste vérité pour ces enfants, qui subirons de pleins fouets les conséquences des choix politiques des dirigeants nippons. Sachant que la radioactivité atteint 2.6 micro sieverts par jour (sachant que ce chiffre est équivaut à l’exposition naturelle par an), ses enfants qui sont exposes aux cancers et malformations, ne se porterons pas mieux avec les fameux dosimètres. La seule différence, c’est que les parents pourront voir que leur progéniture est condamnée.
Je vous invite de visionner cette vidéo, qui montre la réaction d’un français qui vit au Japon depuis plus de dix ans, ça fait réfléchir…

Les portables sont ils dangereux pour la santé ? Info ou intox ?

Depuis une quinzaine d’années les détracteurs des technologies nouvelles, obscurantistes de tous bords et les décroissants soulèvent la question du danger que pourraient représenter les ondes émises par nos cellulaires sur la santé. Avec la généralisation du « gadget » devenu plus qu’indispensable dans la vie de tous les jours (plus de 69 millions d’abonnés en France), les opérateurs ont besoin d’installer de plus en plus d’antennes relais, qui sont eux aussi de plus en plus puissants en terme d’émission d’ondes. À ce « problème » vient s’ajouter les ondes wifi, qui eux aussi (selon certains) sont très vilains pour nos chères cellules grises. Pour apaiser les craintes et les réticences de certains, les grandes multinationales nous rassurons avec les études des spécialistes en la matière, qui prouveraient que toutes ces ondes qui nous entourent sont sans danger.

Mais alors, qui croire ?

Franchement, impossible de le dire. D’un côte il est évidant que l’état et les industriels cherchent à tout prix mettre en route des technologies qui n’ont subis aucun test réel pour affirmer ou contredire les théories qui courent autour de la nuisance que pourraient ces ondés représenter.
Ils mettent donc notre santé en danger sans ce soucier des effets indésirables que pourraient provoquer les rayonnements électromagnétiques et ondes électromagnétiques. Ces effets indésirables peuvent aller jusque aux des tumeurs pour les usages intensifs. Ces petits objets qui révolutionnent notre vie seraient donc « très » dangereux.

On fait quoi ?

Non on ne jetons pas nos précieux cellulaires à la poubelle. Il faut ce rendre à l’évidence ; nous ne pouvons pas nous en passer et ils est désormais évident que l’homme et la technologie feront un dans un futur proche (pas trop proche j’espère ^^) et qu’il nous est impossible d’échapper. Je voudrais cependant attirer votre attention sur l’exposition de nos enfants à ces ondés à l’évidence pas très amicaux. En effet, il m’arrive de voir de plus en plus d’enfants âgés de 12 à 14 ans équipés de « bijoux » de technologies qui jouissent de forfaits illimités…. Affaire à suivre.

enfant au téléphone

La réintroduction des farines animales en question.

Depuis prés d’une semaine la France retient son souffle. La population embarqué dans une psychose (non sans fondement) à propos de la bactérie E.coli et les concombres espagnoles tueuses, mis hors de cause depuis, risque de passer à côte d’une affaire plus alarmante.

Notre cher Conseil national de l’alimentation (CNI) à décide de remettre en cause, document à l’appuie, la lourde réglementation sur l’usage des farinés animales dans le cadre de l’alimentation des bêtes d’élevage. Il faut dire que pour rester compétitif sur les marchés internationaux et se plier aux prix aberrants pour la viande pratiqués par les grandes surfaces, nourrir ces bêtes dans les pâturages revient à ce tirer une balle dans le pied pour un modeste berger.

Nous attardons pas sur les considérations économiques et concentrons nous plutôt sur les raison qui ont conduit à cette « lourde réglementation ».

Techniquement parlant, les farines animales sont littéralement fabriques avec des abats considérés impropres à la consommation par l’homme (graisse, tendons, peaux…). Très riches en protéines, ces abats représentent un excellent apport nutritif  pour les animaux issues des élevages hors sol. Les bêtes ainsi nourries grandissent plus vite et atteignent des tailles records en un temps record.

À premier vue c’est une excellente idée pour produire plus et plus vite, de plus on recycle ce qui est impropre à la consommation en évitant le gaspillage d’énergie (j’extrapole, car les motivations principales sont économiques…). Mais on y regardent de plus prés; est-ce normale de nourrir un herbivore avec de la viande (certes traité et transformé) issue d’un animal de la même espèce ? La réponse est « Non ». Ces pratiques ont menés au dévloppement de maladies animales tells que encéphalite spongiforme, plus communément connue sous le nom de la maladie de la vache folle, juger par vous mêmes.

Troublant non? En faite l’encéphalite spongiforme connait son équivalant chez l’homme; on appéle ça la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Elle provoque une dégénérescence du système nerveux central, après une longue période incubation (parfois plus de 10 ans) elle conduit à la démence puis une mort certaines accompagné d’atroces souffrances  (je vous passe les détailles, je ne voudrais pas vous couper l’appétit).  Le soucis principal réside dans la transmissibilité de la version bovine vers l’homme. Dimanche au barbecue vous mangez un steak contaminé et 10 ans plus tard vous perdez la boule.

Les faits sont prouvés et les cas de contamination avérés. Le problème se pose depuis les années 80′ et la « lourde réglementation » dont je vous ai parlé au début de l’article fut mise en place dans les au début du siècle. Il n’as pas fallu bien longtemps, pour la remettre en cause. Les espagnols (décidément toujours eux et leurs concombres) ont remis la question sur table fin 2008. Aujourd’hui nous leurs emboitant le pas en bon mouton (d’élevage) pour assouvir des intérêts économiques des intéresses.